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L’exigence Culturelle ET La Problematique De Traduction D’un Roman Africain Colonial: Une Etude De L

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Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 L’exigence Culturelle ET La Problematique De Traduction D’un Roman Africain Colonial: Une Etude De La Version Française De Things Fall Apart De Chinua Achebe Isibuor, Uchenne Kennedy (PhD), Friday, Philippe Gwung, Juliet Elikwu (PhD) Department of French and International Studies, Ignatius Ajuru University of Education, P.M.B 5047, Rumuolumeni Port Harcourt Annotation: The French translation of “Things Fall Apart” is a beautiful attempt aimed at showing different aspects of the Igbo culture, the people colonial experiences to the French world. Translated in 2013 by Pierre Girard, “le Monde s’effondre” facilitates a mutual relationship between the Igbo and the French people. But this translation is replete with many challenges as a result of the translator’s insufficient knowledge of the Igbo culture. Indeed a good and adequate translation of a typical cultural novel like things fall apart requires a mastery and familiarization of not just the two languages involved but, also indebt knowledge of both cultures. This study highlight the cultural exigencies and problems of translating Chinua Achebe’s novel,” Things Fall Apart” to French language and suggest some possible solutions.

INTRODUCTION Comme un texte littéraire, Things Fall Apart de Chinua Achebe cherche non seulement à distraire mais plus fondamentalement, à démontrer et illustrer les aspects différents de la culture du peuple Igbo du Sud-Est du Nigéria. Cette culture se manifeste dans les anthroponymes, les toponymes, les proverbes et expressions idiomatiques et encore dans les institutions locales, les salutations, les aliments et les boisons, la génécologie et cosmologie etc. Le transfert de ces éléments dans le texte cible et dans la culture française de Pierre Girard est intrigant et donc constitue un grand défi aux traducteurs. En fait, comme un exercice qui cherche la reproduction exacte du message et l’appréciation de la qualité esthétique du texte source, la traduction entraine tant de problèmes car elle met l’emphase sur la fidélité, l’authenticité et l’originalité. Ces concepts sans doute ont à faire avec la culture. En effet, le transfert d’un texte d’une langue à une autre reconnait la différence et la spécificité des cultures en contact et alors cherche la fusion de ces cultures et la création de compréhension de l’un et de l’autre. Mais créer cette fusion et compréhension lors de la traduction est évidemment très difficile. Voilà pourquoi Girard a eu tant de problèmes dans sa traduction de Things Fall Apart : 1. Problème de fidélité aveuglé 2. Problème de mépris, désire et intérêt de l’audience du texte cible 3. Problème de mouvais choix de technique de traduction. Sans doute, ces problèmes entravent la traduction du texte et affecte sa qualité.

ISSN 2792-4017 (online), Published under Volume: 2 Issue: 6 in Jun-2022 Copyright (c) 2022 Author (s). This is an open-access article distributed under the terms of Creative Commons Attribution License (CC BY).To view a copy of this license, visit https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ 32


Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 C’est pour simplement examiner la technique de traduction des éléments culturels du texte anglais au texte français, pour déterminer leurs efficacités, et pour enfin suggérer des solutions possibles aux problèmes de traduction de ces éléments. La traduction et la culture Les éléments culturels constituent un aspect significatif de la traduction. En effet, la traduction est une fusion de deux cultures. La culture selon le Dictionnaire Encyclopédique Larousse se défini comme : Tout complexe qui inclut les connaissances, les croyances, l’art, la morale, les lois, les coutumes et toutes autres dispositions et habitudes acquises part l’homme, en tant que membre d’une société. Elle comporte aussi la vie sociale, religieuse et familiale du groupe. Touchant leur système économique, politique judiciaire et scientifique. Bref, la culture différencie une = communauté d’une autres. Au sens large du terme, la culture est le résultat bien concret d’une habitude de vie commune. Elle se manifeste dans la manière de penser, de réagir, et jusque dans les gestes. Wuilmart (1990:242) affirme que traduire est une espèce de mutin…où deux cultures ont heureusement fusionné. Pour effectuer cette union, le traducteur doit se familiariser non seulement avec les deux langues mais aussi avec les deux cultures. Au sens contemporain, Cordonnier (2002 :2) nous informe : Le concept de culture est complexe il est très étendu et représente le mode de vie et de pensée commun à une communauté donnée. Elle conduit les individus appartenant à cette communauté à agir dans certaines situations sociales d’une façon commune. Evidemment, la traduction a tant à faire avec la culture. Ecoutons Vinay et Darbelnet (1977 :23) : la traduction, est une opération qui consiste à faire passer d’une langue à une autre tous les éléments du sens d’un texte et rien que ces éléments, en s’assurant qu’ils conservent dans la langue d’arrivée leur importance relative, ainsi que leur tonalité et en tenant compte des cultures auxquelles correspondent respectivement la langue de départ et la langue d’arrivée. Définitivement, la traduction à affaire avec la transmission des données d’une langue à une autre. Elle met l’accent sur la notion de fidélité que cherche la reproduction exacte du message et l’appréciation de la qualité esthétique du texte. Dans cette ligne de raisonnement, Alain Rey cité par Toti défini la traduction comme une reproduction dans le texte cible de tous les effets informatifs (message précis), affectifs (émotion), et esthétique (style) du texte de départ (Toti 1967 :16). Evidemment, le transfert d’un texte d’une langue à une autre prend compte de la signification culturelle et importance relative du texte à l’audience et au public récepteur de la mesure que un tel transfert répond à leur désir, espérance et leur perception culturelle qui explique la notion d’authenticité, de fidélité et d’adéquation en traduction. Wuilmart (1990 :2,39) constate encore un lien entre la culture et la traduction: « la traduction n’implique ni plus ni moins que le message d’une culture à une autre par le truchement de la langue ». La culture intervient dans la traduction. Comme une opération pleinement et éminemment culturelle, la traduction n’opère pas de la même manière dans toute situation traduisant ni dans toutes les culturels. ISSN 2792-4017 (online), Published under Volume: 2 Issue: 6 in Jun-2022 Copyright (c) 2022 Author (s). This is an open-access article distributed under the terms of Creative Commons Attribution License (CC BY).To view a copy of this license, visit https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ 33


Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 Formes et natures des éléments culturels Il existe plusieurs formes et nature des éléments culturels qui abondent dans les œuvres littéraires comme Things Fall Apart telles que les toponymes, anthroponymes, aliments et boissons, allusions historiques, mythes, temps et saisons, salutations, allusions au système politique et judiciaire, systèmes de mesures. Le petit Larousse (2007 :1062) définit le toponyme comme nom de lieu. Par exemple : Umuofia. L’anthroponyme se définit aussi dans ce dictionnaire comme nom de personnes: Okonkwo, Nwoye, Obierika, Ezinne. Les allusions historiques sont des propos qui évoquent une personne, une chose, sans en faire expressément mentionner. Ils font appel au passé d’une communauté donnée. Les phénomènes locaux sont des faits des objets ou des éléments qui sont particuliers à une communauté linguistique donnée. Les proverbes sont des court énoncé exprimant un conseil populaire, une vérité de bon sens ou d’expérience et qui est devenu d’usage commun. Le dictionnaire Larousse définit le mythe comme une d’esprit qui ne repose pas sur un fond de réalité, représentation symbolique qui influence la vie sociale. Claude Romney (1984 :267) voit l’allusion au système politique et judiciaire comme: Le dépaysement est certainement plus gênant pour les enfants que pour les adultes qui acceptent plus volontiers l’existence de différences nationales. L’allusion est l’ensemble du système de mesure traditionnelle et même locale dans certains cas qui reflète une pensée essentiellement, concrète et respectueuse de la tradition. De la même façon les aliments et les boissons les salutations, différent selon les cultures et les civilisations, et donc portent des sens et significations variées. En fait, les éléments culturels constituent un grand défi aux cas ils ne sont pas les mêmes dans toutes les cultures ni dans les pays Les difficultés de traduction des éléments culturels dans Things Fall Apart de Chinua Achebe. Abordons maintenant les problèmes de traduction des éléments culturels dans Le monde s’effondre : Le problème de mauvais choix de technique de traduction, problème de traduction erronée, problème de fidélité aveuglée au texte source, problème mépris de désire et intérêt de l’audience au texte cible. Nous allons considérer quelques extrait du texte source et leurs traduction en français: Problème de mauvais choix de technique de traduction. Ce problème est évident dans la version française de Things Fall Apart voyons les exemples suivants : 1. Obiageli had been making inyanga with her pot (T.S. P31) Obiageli avait fait inyanga avec son pot (T. C. P.58) 2. The nso-ani which Okonkwo had committed (T.S. P22). ISSN 2792-4017 (online), Published under Volume: 2 Issue: 6 in Jun-2022 Copyright (c) 2022 Author (s). This is an open-access article distributed under the terms of Creative Commons Attribution License (CC BY).To view a copy of this license, visit https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ 34


Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 Du nso-ani qu’Okonkwo avait commis (T.C. P43) 3. Umuofia kwenu (8) Umuofia kwenu (19) Voici dans ces exemples, le cas d’emploi de l’emprunt comme technique de traduction le plus simple de tous les procédés de traduction, l’emprunt s’emploi pour remplir une lacune métalinguistique. C’est le fait de rapporter un mot ou une phrase d’une langue à une autre. Par exemple ; Inyanga/inyanga Nso-ani/nso-ani Umuofia/umuofia kwenu Nous tenons que dans ces cas, cette technique est mauvaise et donc n’est pas nécessaire car ces mots ont d’équivalents dans la langue française L’orgueil/inyanga L’abomination/nso-ani Umuofia kwenu/ bonjour tout le monde Nous proposons donc les traductions suivantes : 1. Obiagali faisait l’orgueil avec son pot 2. L’abomination qu’Okonkwo avait commise 3. Bonjour tout le monde d’ Umuofia Bien sûr, l’emprunt sert à maintenir les couleurs locales mais le traducteur doit prendre compte de l’équivalent du message pour ne pas trahir le besoin de communication chez l’auteur. Problème de traduction erronée. Nous constatons également le problème de traduction erronée des mots et des expressions dans le texte cible comme par exemple: 1. Yam, the king of crops (P.24) 2. L’igname, la reine des plants (46) 3. Nwoye’s mind had gone immediately to Nwanyieke (P.25). 4. L’esprit de Nwoye avait immédiatement pensé à Nwanyieke (P.47). Dans l’exemple I, nous constatons l’ignorance de la culture Igbo chez le traducteur. Il croit que l’igname a un sexe féminin et par conséquent traduit «The king» par la reine. Mais en vérité dans la culture Igbo, l’igname occupe une place centrale et s’avère très important de la mesure que les Igbo la considèrent comme le roi des plantes-Voilà pourquoi Achebe a dit «the king of crops» et non pas «the queen of crops». Sans doute, Pierre Girard n’a pas la moindre connaissance de la culture Igbo. Il aurait du se familiariser avec la culture Igbo sur laquelle se fonde le roman d’Achebe le deuxième exemple est aussi erronée. Cette erreur provient de plus du mauvais choix de technique de traduction, la traduction mot à mot ou littérale convient mal à cette égard. Cette traduction française du texte anglais heurte car elle ne ressemble pas ce que l’on trouve dans le texte anglais. Nous proposons au contraire la traduction suivante : «Nwoye avait immédiatement pensé à Nwanyieke». ISSN 2792-4017 (online), Published under Volume: 2 Issue: 6 in Jun-2022 Copyright (c) 2022 Author (s). This is an open-access article distributed under the terms of Creative Commons Attribution License (CC BY).To view a copy of this license, visit https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ 35


Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 Problème de fidélité aveuglée Dans l’exemple qui suit, nous voyons que le traducteur est un apôtre de fidélité aux mots et à la structure de la phrase dans son usage et emploi de technique directe de traduction. Exemple: Tears stood in his eyes (P.41) Des larmes plein les yeux (74) Cette traduction fait confondre le message et par conséquent trahit le concept de précision et de clarité. Voilà pourquoi la phrase est drôle en français. Pour bien communiquer le même message aux lecteurs français, nous proposons : Les yeux pleins des larmes. En fait, le concept de fidélité est central en traduction. Mais, une bonne traduction exige la créativité aussi bien que l’intelligence et la liberté de choisir la technique qui fait que le message est précis comme la structure formelle des phrases doit répondre aux exigences stylistiques de la langue d’arrivée. Problème de Mépris du désir et de l’intérêt de l’audience du texte cible. Le texte source, Things Fall Apart est en vérité un roman avec lequel Achebe célèbre et démontre la culture et pratique traditionnelle de son peuple Igbo. A travers ce roman, le monde connaitra certains aspects de la culture du monde Igbo. Ce qui explique la volonté du traducteur à présenter ce monde aux français. Il a voulu sans doute recréer et reproduire ce roman culturellement important. Mais cette mission a connu tant de difficultés d’où la notion d’intraduisibilité en traduction. Tiefan (2004:93) raisonne que «la traduction doit servir à informer, à instruire et créer un rapport culturel». Par moyen de traduction, les gens devraient apprendre la culture et pratique des autres pour la compréhension mutuelle et le développement du monde entier. Malheureusement, la fidélité aveuglée chez Girard au texte source fait qu’il méprise l’intérêt et le désire des lecteurs français à se familiariser et à apprendre la base culturelle de Things Fall Apart. Voyons par exemple : 1. It is an Ozo dance (41) C’est une danse Ozo (74) 2. In his Obi (21) Dans son Obi (42) 3. Their dancing egwugwu (4) Leur dansant egwugwu (11) 4. Amadiora will break your head for you (24) Amadiora brisera la tête (24) 5. It was a full gathering of the Umuada (93) C’était un rassemblement complet d’umuada (160)

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Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 «Ozo dance», «Obi», «egwugwu», «Amadiora» et «Umuada» sont des éléments culturellement spécifiques aux Igbo et par conséquent n’ont pas d’équivalent en français ce qui explique le choix de l’emprunt comme technique de leurs traductions. Ces éléments sont étranges aux lecteurs français. Ils ne se trouvent pas dans la langue française. Une note de bas page aurait suffi car cela aidera les lecteurs français à mieux comprendre ces mots et à apprécier leurs importances culturelles. Nous imaginons la surprise d’un lecteur français au moment où il se heurte devant les mots (les toponymes, les anthroponymes, les salutations, les aliments et boissons, les temps et les saisons, etc.) qui proviennent de la langue et culture Igbo. Face à ces problèmes que nous avons identifiés, qu’est-ce qu’il faut faire ? Nous proposons des solutions possibles dans la partie qui suive. Solutions possibles aux problèmes Suite à la constatation des problèmes ci-haut, nous proposions qu’il faut : 1. Etudier la culture et civilisation des communautés linguistiques en question. La formation des traducteurs devrait débuter par l’étude de la culture et la civilisation des communautés linguistiques spécifiques qui sont à la base du roman à traduire. Le traducteur d’une œuvre littéraire doit en effet se familiariser avec ces cultures et civilisations comme il doit bien apprendre et utiliser les deux langues de travail car le traducteur qui n’a pas une connaissance approfondie de la culture de la communauté dont il traduit leur langue aura certainement tant de difficultés lors de sa traduction. 2. Mettre les notes au bas de page le traducteur ne devrait pas oublier de mettre ou d’ajouter des notes en bas de page pour expliquer les mots étranges utilisés dans sa traduction afin d’aider ses lecteurs à mieux comprendre le texte. 3. Réviser la version française de Things Fall Apart. La révision du texte cible s’avère nécessaire pour tout d’abord corriger les fautes identifiées entre autres et ensuite pour faciliter la compréhension du texte par les lecteurs dans l’avenir. CONCLUSION La culture en fait a tant affaire avec la traduction étant donné qu’elle n’est pas la même dans tous les pays. Things Fall Apart de Chinua Achebe comme un roman spécifiquement culturel cherche à illustrer et démontrer la beauté de la culture et les expériences du peuple Igbo. Alors, sa traduction exige non seulement la connaissance de cette culture mais aussi doit prendre compte du désire et intérêt de l’audience française d’être bien informé et bien instruit pour mieux comprendre et créer un rapport mutuel avec les Igbo. Plein des toponymes, des anthroponymes, des proverbes et expressions idiomatiques, des allusions, des aliments et boissons, des salutations etc, sa traduction connait beaucoup de difficultés. Le traducteur Pierre Girard a commis des erreurs. Ces erreurs proviennent de mauvaise choix de technique de traduction, de traduction erronée des mots et des expressions, de fidélité aveuglée et au mépris du désire et intérêt de l’audience du texte cible qui ont le besoin de bien comprendre les aspects différents de la culture Igbo. Voilà pourquoi le traducteur doit apprendre et se familiariser avec la culture de la communiante linguistique du texte source. Il doit aussi mettre les notes aux bas de pages afin que son audience puisse comprendre les mots et les expressions étranges. ISSN 2792-4017 (online), Published under Volume: 2 Issue: 6 in Jun-2022 Copyright (c) 2022 Author (s). This is an open-access article distributed under the terms of Creative Commons Attribution License (CC BY).To view a copy of this license, visit https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ 37


Journal of Ethics and Diversity in International Communication | e-ISSN: 2792-4017 | www.openaccessjournals.eu | Volume: 2 Issue: 6 De plus, le traducteur doit maitriser les techniques de traduction qui conviennent pour rendre efficaces sa traduction. En fin, la version française de Things Fall Apart doit être révisée pour satisfaire l’intérêt de l’audience cible. REFERENCES 1. Achebe C. (1958), Things Fall Apart, London, Heinemann Educational Books Ltd. 2. Achebe C. (1972). Le Monde S’effondre, Paris, Présence Afrique. 3. Cordonnier, J. (2002). Apects Culturels de la traduction: quelgues notions clés, Meta, XLVII, 1.P.2. 4. Grand Dictionnaire Encyclopédique Larousse, Paris, Librairie Larousse. 5. Halbir Amparo, H. (1990). La notion de fidélité en traduction, Paris, Dedier. 6. Jose M. (1969). Less rapports entre la langue et la culture, Meta, 14(4). 7. Larousse, (2007). Le Petit Larousse illustré Larousse, Paris. 8. Romney, C. (1984). Problèmes culturels de la traduction d’Alice in Wonderland en français, Meta, 29(3), 268-277. 9. Vinay, J. P. et Darbelnet (1958). Stylistique Comparée du français et de l’anglais, Paris, Didier. 10. Wuilmat, F. (1990). Le traducteur littéraire: un marieur empathique de cultures, Meta, xxxv(1)236-239).

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