www.fgks.org   »   [go: up one dir, main page]

O nomad, noV. 2019-le journal franco-coréen

Page 1

1er Novembre 2019

LE JOURNAL FRANCO-COREEN MENSUEL GRATUIT www.Onomad.club +33 782550702 SMS

Onomad

Onomadclub@gmail.com

Onomad 15 rue Augereau 75007 Paris Dépôt légal : à parution ISSN en cours

Ônomad Global Residence

Le nouveau Centre Culturel Coréen au coeur de Paris Nouveau Centre qui ouvrira ses portes le 21 novembre prochain au 20 rue La Boétie (Paris 8e) sera particulièrement riche en festivités.

Un immeuble de 3300 m2 (presque 5 fois la superficie de son Centre actuel de l’avenue d’Iéna). Avec sa salle polyvalente (concerts, cinéma, conférences, etc.) ultra moderne, ses deux grands espaces d’exposition, une vaste bibliothèque et de nombreux espaces pour les ateliers d’art et cours de coréen.... Le projet a été confié à l’architecte et ingénieur sudcoréen AHN Tae-Jun qui travaille chez l’agence Studios depuis 2005. A l’occasion de son inauguration, il organise une magnifique exposition, TEKKAL,réalisée en collaboration avec le Musée National du Folklore de Corée du 21 novembre 2019 au 14 février 2020. Elle constituera une première en France à travers plus de 200 pièces présentées (costumes traditionnels hanbok, peintures, porcelaines, etc.). Informations pratiques Lieu : Centre culturel Coréen 20 Rue la Boétie 75008 Paris 8e Métro ligne 9 et 13 station “Miromesnil” www.coree-culture.org

« Scent of Ink » Par la Compagnie Nationale de Danse de Corée Inspirée par l’esthétique des peintures à l’encre traditionnelle et la calligraphie, la création Scent of Ink (Mookhyang) offre une belle vision des danses et musiques traditionnelles coréennes. Les danseurs de

la Compagnie Nationale de Danse de Corée y retracent artistement l’expression des quatre nobles végétaux de la tradition extrême-orientale : le bambou, le chrysanthème, le prunier et l’orchidée. le 8 décembre à Paris au Palais des Congrès billetterie : fnac.com / 0892 683 622 ticketmaster.fr / 0892 390 100

DIGITAL COREEN

Ônomad, c’est une culture de l’état d’esprit nomadique d’une start up – proximité, dynamique et audace. Notre valeur ajoutée : des stratégies sur-mesure, créatives, influentes et ROIstes. Ônomad aide les entreprises et les marques à développer une relation unique avec les 51 millions d’habitants en Corée du Sud et le diaspora de 8 millions. Nos équipes sont constituées exclusivement d’experts : – des consultants expérimentés dans les domaines du conseil, de la stratégie on line, Kakao Talk, Smartphone, Youtube en Corée – des spécialistes dans chaque secteur d’activité Consumer – Lifestyle Onomadclub@gmail.com - www.Onomad.club 1


EVENTS

Exposition Webtoon Du 21 nov. 2019 au 31 mars 2020 CENTRE CULTUREL AUDITORIUM

Le terme « Webtoon » - combinaison des mots « web » et « toon » (cartoon) -, désigne la bande dessinée numérique diffusée sur le net. Il y a actuellement en Corée 59 plateformes avec 3183 auteurs de BD et 9148 différents cartoons disponibles. Les webtoons sont accessibles depuis un mobile et peuvent être regardés quel que soit le lieu où on se trouve : dans le métro, dans le bus, dans la rue…C’est certainement cette grande accessibilité qui explique le véritable « boom », ces dernières années, de ce nouveau type de bande dessinée en Corée.

7e édition « Drama Party » Chaque automne, Bonjour Corée organise la Drama Party, en partenariat avec le Centre Culturel Coréen, Dramapassion et Gong TV. Dédié aux séries télévisées et à la culture populaire sud-coréennes, cet événement comprend la diffusion des deux premiers épisodes de quatre dramas qui ont ces dernières années remporté l’adhésion d’un très large public. Le thème retenu cette année sera « Back To School » (retour à l’école). Il s’agira ainsi de partir en voyage d’immersion en Corée, plus exactement sur les bancs de l’école coréenne. Ce thème sera illustré par la diffusion, le samedi, des dramas « The Heirs » (2013) et « Who are you, school » (2015), et, le dimanche, des dramas « Shut up, flower boys band » (2012) et « Weightlifting fairy Kim Bok Joo » (2016). Des stands photos et d’essayage de hanbok seront également installés sur place et les séances de projection seront entrecoupées de diverses activités culturelles : conférences, quizz et grands jeux, tombola, et bien d’autres surprises ! Un rendez-vous festif pour les « dramavores », à ne pas manquer ! Samedi 30 nov.et dimanche 1er déc. de 12h à 19h30 CENTRE CULTUREL AUDITORIUM « Drama Party » en régions Samedi 16 novembre Maison des Associations 6, cours des Alliés, 35000 Rennes Organisé par l’Association Korea Breizh Dimanche 24 novembre Théâtre du Sphinx 9, rue Monteil, 44000 Nantes Organisé par l’Association Kore@Nantes 2 Ônomad

L’exposition retracera son histoire et la manière dont elle s’est développée en Corée. Un espace de lecture sur tablette sera également aménagé au sein de l’exposition. Exposition de webtoons organisée conjointement par le Centre Culturel Coréen et la Korea Manhwa Contents Agency.

Exposition «Tekkal, couleurs de Corée» Du 21 nov. 2019 au 14 fév. 2020 CENTRE CULTUREL ESPACE D’EXPOSITION

Cette exposition aborde le thème de la signification et de l’usage des couleurs dans la vie et la culture des Coréens. Elle est réalisée en collaboration avec le Musée National du Folklore de Corée et constitue une première en France. Le bleu du ciel, le rouge flamboyant du coucher de soleil, les camaïeux de vert d’une forêt... Tout ce qui nous environne a une couleur et la nature qui change au fil des saisons nous offre une large palette de nuances. le public français pourra découvrir dans cette superbe exposition le raffinement des costumes traditionnels coréens (hanbok) et leurs teintes chatoyantes, de magnifiques broderies aux couleurs éclatantes mais aussi de délicates porcelaines blanches, des peintures, des coiffes, des sceaux… tous ces objets – plus de 200 ! Le jeudi 28 novembre, matin et après-midi, ouverture de 3 ateliers illustrant l’exposition : 1)«Réalisation de motifs floraux en argile» 2)«Découverte des motifs traditionnels coréens» 3)«Essayage de hanbok» Une séance permettant de participer aux trois ateliers (consécutivement) se déroulera dans la matinée de 10h à 11h30. Dans l’après-midi, une autre séance proposant ces mêmes ateliers aura lieu de 14h30 à 16h. * Inscriptions à partir du 12 novembre au Centre : info@coree-culture.org


EXHIBITION artistique dans le très pittoresque Bastille Design Center. Suite à l’exposition « Gan 간 (閒, interstice) » de l’an dernier, la quarantaine d’artistes des deux générations se rencontreront cette fois sur le thème du « Yeon 연 (lien) : ondes immatérielles».

Yeon 연 (lien) : ondes immatérielles Exposition de l’association SONAMOU

Si le gan 간 désigne le silence, la pause, l’espace vide, le temps suspendu entre deux choses visibles, le « yeon », lui, décrit concrètement ce qui les relie entre elles, figurant des ondes intangibles, tantôt la lumière, tantôt l’ombre, ou des ondes invisibles comme l’air. Le mot yeon 연 (緣) signifie « nouer » ou « raffermir l’attache d’un tissu déchiré ». Englobant l’idée qu’aucun lien ne se crée par hasard entre deux êtres, comme l’indiquent les mots coréens inyeon 인연 (因緣) et yeongo 연고 (緣故), ce vocable peut également évoquer le fil d’un cerf-volant. À l’instar de l’espace et du temps qui sont en perpétuel tissage, le yin et le yang se croisent ainsi pour créer le monde, toute chose faisant in fine l’objet d’un rapport de cause à effet. Le « yeon », invisible, apparaît dans l’art comme une myriade de vagues intangibles à travers des traits, des couleurs et des espaces vides, entre des oeuvres, entre des artistes et le public…

Avec une huitaine d’artistes d’origine coréenne de la première génération qui s’est installée en France, l’association Sonamou, composée elle d’une trentaine de plasticiens coréens, présentera à nouveau cette année sa nouvelle production

CHIKOJA

BPR & Beyond

Get Business Process Re-engineering from industry experts. A Unique combination of shop floor, automation and software. .

ERP CONSULTING

Draw a great business strategy through continously monitored and analysed business. Check drops, leaks and manage through resource insights drawn from our systems.

OUTSOURCING

You concentrate on your business, we take care of its processes. OutsOURce it to us

se déroule à Montpellier et sur le territoire de la Métropole depuis sa naissance en 2015. Expositions, musiques, performances, littératures, cinémas, gastronomie, ateliers Tout le programme sur festivalcoreedici.com 06 42 87 89 97 Samedi 16 novembre Maison des Chœurs 17h30 : Mon Arirang 3 / Concert francocoréen. La formation de “Mon Arirang” débute avec la création du festival “Corée d’ici” en 2015. Il s’appuie sur la participation d’artistes traditionnels coréens et de musiciens contemporains régionaux. Le projet prend le nom de “Mon Arirang”, composé du “Mon” de Montpellier et de l’Arirang, chant national folklorique coréen. Cette année durant le festival Corée d'ici, la troupe de percussions Suk Jin Go rencontre les artistes montpelliérains Sébastien Daillet, David Lavaysse et Pierre Sevila durant un séjour d'une semaine à l'issue de laquelle ils présentent leurs travaux. Durée : environ 1h. Le spectacle sera suivi d'une dégustation de spécialités coréennes. Tarif 5€ billeterie@festivalcoreedici.com

Du 22 au 24 nov. de 13h à 19h Bastille Design Center 74, boulevard Richard Artistes invités par Sonamou pour cette exposition : Park In Kyung, Chung Ha-Min, Kim Tschang-Yeul, Tchine Yu-Yeung, Bang Hai-Ja, Kim Soun-Gui

14 Rue Sainte Anne 75001 Paris Métro : Pyramides (7,14) www.chikoja.fr Tél : 01 42 60 58 88 - 06 27 51 60 14 Ouvert tous les jours. 12:00-23:00

Le Festival Corée d’ici !

Plats Coréens

à deux pas de av. Opéra, Louvre NON-STOP

Dimanche 17 novembre Concours de Kpop, Salle Pagezy → À partir de 13h : Concours de Kpop en partenariat avec Kpop Montpellier France et l’Ecole coréenne de Montpellier Viens montrer tes talents en danse et tente de gagner un prix dans les différentes catégories du concours (cover, chant, musique, création). Inscription : kpop.montpellier.france@gmail. com. Tarif de l’inscription : 5€ Entrée libre pour les spectateurs Adresse : Place Francis Ponge, Montpellier Accès : Ligne 1 arrêt Du Guesclin

IT Professionals Mumbai - Bangalore Global Tech Solutions is a well established offshore software outsourcing company headquartered in Mumbai City (15 years’ experience). We provide quality and professional web design, web development, offshore website development and offshore software outsourcing services to customers from all over the world. www.globaltechsolution.net - globaltechsolution@gmail.com WhatsApp +33 7 82 55 07 02 SMS 3


JEONJU, Future Capitale Financière Mondiale d’après Jim Rogers Jeonbuk International Finance Conference Jim Rogers prédit qu’une Corée réunifiée sera le pays le plus intéressant pour investir Le célèbre investisseur et commentateur financier américain a déclaré que si la péninsule coréenne se réunifiait et s’ouvrait au monde extérieur, elle deviendrait le pays qui va attirer le plus d’attention. Il a également confié avoir envie d’investir en Corée du Nord. Jim Rogers est l’un des trois grands investisseurs de la planète, avec Warren Buffett et George Soros. Il considère depuis quelques années déjà le “royaume ermite” comme un futur marché émergent. Récemment, il a pris la fonction d’administrateur externe d’une entreprise sud-coréenne qui possède un terrain de golf sur les montagnes Geumgang, au nord du 38ème parallèle. Car selon lui, la situation dans ce pays communiste est identique à celle de la Chine en 1981. Tout le monde appelle à un changement, Pyongyang souhaite aussi la réunification, et les préparatifs pour une évolution sont prêts. Concernant l’ouverture du marché nord-coréen, il a expliqué que les capitaux et le savoir-faire du Sud et les ressources naturelles et la main d’œuvre à la fois qualifiée et bon marché du Nord pouvaient instaurer un rapport gagnant-gagnant. Du coup, il a conseillé aux parents d’apprendre le coréen à leurs enfants. “ Ville” de Corée, Jeonju sera élue plus grande banque fiduciaire du monde et comme principal investisseur du monde : “Jeonju International Financial City”, affirme Jim Rogers. 4 Ônomad

JIFIC 2019

Achetez des terrains près de la zone démilitarisée en Corée. En effet, la Corée n’est plus pauvre. Nous sommes en 2019 et non en 1969. Je veux mettre tous mes atouts en Corée. L’avenir de l’économie coréenne se joue aujourd'hui. J’ai choisi Jeonju parce que le siège du service national des pensions se trouve à Jeonju. Avec les trois principaux fonds de pension au monde avec un chiffre d’affaires cumulé de 346 000 milliards de won depuis 1988, et un rendement moyen de 5% - 8% cette année, nous sommes convaincus de devenir une ville financière internationale. Et ce n’est pas seulement une opinion personnelle : il existe de nombreux actifs et une pension nationale solide à Jeonju. Avec le développement d’Internet et des technologies de l’information, les grandes villes comme New York et Séoul n’ont plus besoin de devenir des centres financiers. En ce qui concerne l’infrastructure relativement insuffisante dans la Silicon Valley, il y a 30 ans, Charlotte comptait 400 000 habitants. Avec l’introduction de la plus grande banque du monde, "Bank of America", Charlotte est désormais la deuxième ville financière d’Amérique et le meilleur endroit où vivre. "Beaucoup d'économistes talentueux ne veulent pas vivre à New York", déclare Rogers. "Quand vous pensez à la Silicon Valley il y a plus de 30 ans, il n'y avait rien. Et le talent est arrivé pour tout changer ." Je pense que Jeonju a une telle capacité de toucher. " L’année dernière, l'investisseur était presque obsédé par la logique de ceux qui "se sont opposés au troisième

centre financier de la ville innovante de Jeonbuk", et il est clair que l’infrastructure et la population relativement pauvres ne pourraient constituer un obstacle pour le centre financier. Il est très rare que Jim Rogers insiste sur le fait qu’une ville en particulier deviendra une ville financière comme celle-ci et que le mouvement des banques mondiales est inhabituel. 3ème grande entreprise financière du monde, KNPS de Corée du Sud est basée à Jeonju. BNY MELLON (The Bank of New York Mellon Corporation), première mondiale et Sate Street, deuxième ont récemment ouvert leurs succursales à Jeonju. La plus grande banque du monde, BNY MELLON, est une entreprise financière, spécialisée principalement dans l'émission de titres, la banque privée, le Treasury Management et l’ Investment Management. Elle est présente dans 36 pays, 6 continents, avec près de 51 000 salariés. Résultats nets : 4.25 billion (2018) AUM US$ 1.7 trillion (2018) ). La 2ème grande banque du monde, State Street a capitalisé 2.511 trillion US$ en 2018. Résultat net US$ 2.599 billion (2018) ayant une valeur similaire à celle de HYUNDAI Automobile. Charles, CEO de BNY MELLON, a manifesté son vif intérêt pour la culture coréenne en dormant dans une maison d’hôtes située dans le Jeonju Hanok village. La "Korea Financial Investment Association" et la branche "SK Securities" ont officiellement annoncé l'ouverture d'un bureau à Jeonju. Selon Jim Rogers, Jeonju et Jeonbuk n'étaient pas une ville financière internationale.


JEONJU, COREE DU SUD

,,

Du coup, il a conseillé aux parents d’apprendre le coréen à leurs enfants.

Rogers a étudié l’histoire à Yale et la philosophie, la politique et l’économie à Oxford et en 1969, il crée, avec Georges Soros, un autre investisseur, une société internationale d’investissement : Quantum Fund.

sera relevé et la croissance à long terme stoppée. La Corée peut minimiser l’impact d’un tel choc grâce à l’unification. Il est clair que Jeonbuk peut donc basculer dans un pôle financier mondial si les conditions sont favorables.

Pour lui, “la Corée est un pays intéressant qui peut influencer l’économie mondiale par le biais de la situation inter-coréenne”. Il a mentionné à plusieurs reprises l’unification, soulignant que le choc financier mondial pourrait se produire lorsque le taux d’intérêt américain, bas aujourd’hui,

La deuxième Conférence sur la finance internationale de cette année, Jeonbuk, a été annoncée et débattue par sept dirigeants financiers mondiaux sous le slogan Jeollabuk-do, centre de la croissance de l’innovation financière au niveau mondial.

Jim Rogers est un investisseur bien établi qui envisage l’avenir grâce à des connaissances hautement mathématiques, scientifiques et précises. La Corée, pays d’espoir et d’optimisme, recèle d’énormes possibilités. Dans les 20 prochaines années,le pays sera le plus riche et le plus attrayant du monde Selon les estimations futures de Goldman Sachs, d’ici 2050, la Corée du Sud sera la deuxième plus grande superpuissance au monde après les États-Unis (PIB 80 000 USD). Elle conserve la meilleure position au monde dans les domaines des semi-conducteurs, des écrans et des smartphones, et la voiture est excellente. La Corée du Sud a déclaré que si elle était unifiée avec la Corée du Nord et en raison de la synergie technologique la plus élevée au monde, elle amènerait les familles à vivre en Corée du Sud. De plus, lorsque l’unification est connectée, des trains reliant BUSAN-BERLIN attireront des touristes du monde entier dans toute la Corée. MyeongDong, quartier touristique de Séoul, sera un peu partout en Corée et attirera des touristes du monde entier qui souhaitent visiter les BTS, K-POP et la Corée. L’unification des deux Corées n’est pas seulement un point dans le temps, mais une réalité qui va se concrétiser plus rapidement que prévu. “La 38ème ligne va bientôt s’effondrer et disparaître et, le cas échéant, la péninsule coréenne deviendra la première destination en matière d’investissement”, ajoute Jim Rogers qui a également prédit de manière positive le potentiel de développement de la Corée dans le cadre de l’unification. “Des pays tels que le Japon et les Etats-Unis ont beaucoup emprunté à d’autres pays, mais la Corée du Sud possède également de nombreux atouts touristiques et culturels tels que les montagnes, les plages, les temples, etc.”

Ateliers d’Initiation à la cuisine coréenne

Buchujeon et makgeolli Ces ateliers, animés par Mme Baik Sunghee spécialiste de la cuisine coréenne, offrent aux amateurs d’art culinaire la possibilité d’acquérir un savoir-faire qui leur permettra de préparer de délicieux plats coréens. Buchujeon est une délicieuse galette coréenne à la ciboulette aillacée. (Buchu signifie ciboulette alliacée. Jeon signifie galette.) Cette galette, à la fois très simple à préparer et très nourrissante, est très appréciée des Coréens qui la mangent comme plat

d’accompagnement ou en petite collation. Pour accompagner cette galette, le breuvage idéal est le makgeolli (alcool de riz coréen). Sa fabrication sera également au menu de cet atelier. Il s’agit de l’une des plus anciennes boissons alcoolisées de Corée, qui se marie particulièrement bien avec le Buchujeon. Inscriptions aux ateliers ouvertes à partir du 12 novembre au Centre Culturel Coréen uniquement par e-mail (info@ coree-culture.org). Lundi 25 et mardi 26 nov. de 18h30 à 20h30 CENTRE CULTUREL ATELIER DE CUISINE CORÉENNE

5


2020 - Examen de tester Hangeul en France 70ème

2020.5.23.(samedi) - 24.(dimanche),

inscription : janvier-février, Paris/La Rochelle/Strasbourg/Ex-en-Provence/Bordeaux/Lyon - Inscription en ligne : speaking.topik.go.kr - candidat : Expatriés coréens d’outre-mer et étrangers dont la langue maternelle n’est pas le coréen, les personnes qui veulent évaluer leurs compétences en expression orale * La priorité est donnée aux candidats qui fournissent un rapport de score TOPIK.

Apprendre le coréen Hangeul en France ? une liste d’associations et écoles coréennes proposant des cours de coréen dans toute la France.

A PARIS

Espace Coréen Un bureau d’espace 153m2 de classes différentes Hangeul a été acquéri par l’association coréenne HanMaeHyup en 2018. Les cours TOPIK et classes différentes le samedi 108 avenue Fontainebleau 94270 Kremlin-Bicêtre, coreen@espace-coreen.kr, Tél.01 49 59 87 23 Institut Roi Sejong 75-77 Avenue Parmentier 75011 Paris https://ilccp-coreen-paris.org Au Nouveau Centre culturel Coréen : 2O Rue La Boétie 75008 Paris www.coree-culture.org Association des Amitiés Asiatiques : 21, rue d’Antin 75002 Paris http://aaaparis.net/Coreen/ L’institut Japonais 2 rue Rameau, 75002 PARIS, France www.institutjaponais.com/

PROVINCES

A LYON Inflexyon, Lyon langues 48 rue Quivogne 69002 Lyon Ecole coréenne à Lyon : 14 place Jules Grandclément, 69100 Villeurbanne. yumi73819@gmail.com 06 15 78 18 65 A MONTPELLIER Maison Pour Tous Paul-Emile Victor, 1247, avenue du professeur Louis Ravas 34080 Montpellier, leejangseok84@hanmail.net 06.72.73.52.50 A LA ROCHELLE Institut Roi Sejong La Rochelle 05 16 49 65 45 / 06 63 91 92 29 Université de La Rochelle (FLASH) 1, Parvis Fernand Braudel 17042 La Rochelle cedex 01 www.facebook.com/larochellesejong A LILLE L’école coréenne Bukchon de Lille (E.C.B.L.) :14 rue de Puebla A GRENOBLE l’AFCGI :Association Franco coréenne Grenoble Isère 61 Avenue Potié à Saint-Martin d’Hérès roselyne72@yahoo.com 06 13 15 17 21 6 Ônomad

A DIJON l’École coréenne de Dijon. Propose des cours d’initiation à la langue et à la culture coréennes, depuis le niveau débutant jusqu’au niveau avancé. Maison des Associations, 2 rue Corroyeur, 21000 Dijon sunjubullynoh@gmail.com 06 83 84 15 66 A STRASBOURG Association de l’Ecole coréenne, ecolecoreenne67@gmail.com 06 88 90 82 14 A TOULOUSE : Espace coréen à Toulouse. jeongmi@free.fr 06 20 33 17 97 7 bis rue Belfort, 31 000 Toulouse. ecole.coreenne31@yahoo.fr A BORDEAUX Ecole coréenne à Bordeaux : ecolecoreennedebordeaux@gmail. com, leebord@gmail.com 06 16 16 86 46 A CLERMONT-FERRAND Ecole coréenne à Clermont-Ferrand, Cours de coréen pour adultes et enfants. Il y a même un cours de TOPIK. Site RICHEPIN Salles N°1 et 5, 21 Rue Jean Richepin 63000 Clermont-Ferrand, ecolecoreenne@gmail.com 06 79 62 90 89 A ORLEANS Association sagunja propose un atelier d’échange sur la langue et la culture coréennes aux adultes. Des supports (livres, CD, etc…) sont consultables dans les locaux. jadealleaume@yahoo.co.kr, bureau.sagunja@gmail.com A BLOIS Salle des Jacobins, Rue Anne de Bretagne – 41000 Blois section.coree@hotmail.com, france.asie.cultures@orange.fr A CHOLET Ecole Coréenne de Cholet, 33 rue barjot – 49300 Cholet ecolecoreennecholet@gmail.com, mugijm082@gmail.com 06 46 12 14 66 A POITIERS Ecole Coréenne de Poitiers, 19 rue Arthur Ranc 86 000 Poitiers Contacter l’école : ICI A ROUEN Maison Saint-Sever, 10-12 Rue Saint-Julien 76100 Rouen contact@ecolecoreenne76.fr A AIX-EN-PROVENCE Ecole coréenne d’Aix, 6 niveaux de cours de langue et de grammaire évolutif et 2 cours spécialisés dans la préparation de l’examen TOPIK I et II. Maisons des associations 17 rue émile tavan 13090 Aix-enProvence. aix.ecolecoreenne@gmail.com courtils@hanmail.net 06 88 62 64 79 A NANTES L’école Seodang A REIMS L’institut coréen de Reims. 11 Boulevard Lundy 51100 Reims. courscoreen@institutcoreen-reims.fr A RENNES Association Korea Breizh. coursdecoreen@koreabreizh.fr A NICE Alliance Coréenne : Moobi-Sunwon. Les cours commenceront au mois de septembre s’il y a suffisamment de demandes. nicekyh@gmail.com *Veuillez nous informer par e-mail pour de nouvelles adresses et les coordonnées erronées => Onomadclub@gmail.com


Les K-Town de Paris

Où manger dans et autour de K-Town à Paris ou en Province ? Les K-Town parisiens sont aujourd’hui, dans le 15ème arrondissement et à Opéra. Paris 15e est une résidence des salariés (3-4 ans) des grandes entreprises coréennes implantées en France (Samsung, LG, Hyundai ...) et des institutions implantées depuis les années 1990. Le quartier Opéra est un passage de 300.000 touristes coréens par an. Les premiers ‘Oasis’(fermé) à proximité du métro Rome, ‘Uri’(fermé et rouvert en “Woo Jung” par l’ancien chef Cho Man-Ki ) et “Han Lim”, à Paris 5e, connu pour ses cuisines nostalgiques : Kkanpunggi (Dakgangjeong-poulet rôti aigre-doux), sa salade au piment et ses crêpes aux poireaux ou aux fruits de mer, ont été les forces motrices de la prolifération des 110 restaurants coréens aujourd’hui dans le Paris intra-muros. Les premiers restaurateurs étaient plutôt “Korean Barbecue” de 5 frères coréens arrivant du Japon, les Zainichi, dans les années 1970. Le cadet Serge est devenu le plus grand restaurateur japonais, chaîne de “Sapporo Ramen” et “Aki” du quartier japonais avec un coréen “Jantchi”. On compte également le couple d’expatriés taiwanais, YU, qui a ouvert le “Chikoja (TaedongKwan)”, spécialisé dans les nouilles coréennes ‘Jjajang-myeon’. “Han Lim, en 1981, continué par deux fils, (dont le deuxième fils est un chef qui a suivi les cours de l’école “Cordon Bleu” parisien) et “Woo Jung” sont de rares restaurants coréens de la première génération encore ouverts à Paris. De nombreuses entreprises familiales ont fermé leurs portes en raison de retraites ou de décès... A Paris, tous sont des opérateurs individuels, à la différence des quelques établissements de Londres et New York (32nd Street), remplacées par des restaurants soutenus ou dirigés par des chaebol, également appelés « classe riche », des conglomérats coréens essentiellement géants. K-Town Opéra ressemble, à de nombreux égards à une version japonaise du quartier de la rue Sainte Anne du 1er arrondissement de Paris, des années 1970-2000. Une foule a suivi la tendance HANLLYU, K-POP, drames coréens depuis 10 ans, surtout à Paris, une ville abritant le plus grand nombre de restaurants (110) dans une seule ville européenne. Il n’est pas impossible pour une communauté immigrée de rester peuplée d’entreprises indépendantes à Paris. Les Chinatown des quartiers du 13ème, à Arts et Métiers, à Belleville et en banlieues : Aubervilliers et Lognes … sont restés relativement hospitaliers et abordables, gérés par des familles (chinois de Wenzhou nouvelle vague « San Tong », réfugiés sino-cambodgiens …)

Jeonju

Les jeunes chefs coréens les plus ambitieux s’éloignent désormais de La Corée pour trouver le succès à Paris La nouvelle génération d’enfants de migrants asiatiques, bénéficiant d’un meilleur niveau d’éducation n’hésite pas à relever des défis importants en France.

Où manger dans et autour de K-Town à Paris

L’ancien étudiant coréen a ouvert une chaîne de trois restaurants “Dochilak”, suite au succès du “Soon”, au rond-point Champs-Elysée, suivi du “Soon Grill”, dans le 3e. De nouveaux établissements ouvrent chaque mois. Mais comme les 2.500 restaurants japonais de Paris et d’Ilede-France et les 2.000 de Province sont gérés majoritairement par des chinois de Wenzhou ou des vietnamiens sauf 75 qui sont « authentiques japonais », il y a déjà une cinquantaine de restaurants coréens gérés par les chinois de France (souvent fermés et en cours d’expérimentation), et le marché cherche encore de nouveaux jeunes acquéreurs chinois. De son côté, le gouvernement coréen fait la promotion pour la globalisation de la cuisine coréenne surtout à Paris, vitrine de l’art culinaire coréen. Pour l’instant “Bekseju Villlage” est le seul à être soutenu par Kooksoondang de Corée. Le gouvernement coréen s’intéresse de près aux réglementations relatives à la prolifération des franchises appartenant à des sociétés dans l’espoir de protéger leurs filiales en Corée. À présent, ces sociétés se tournent vers le marché américain pour de nouveaux sites. Elles ont même l’aide du gouvernement coréen pour s’étendre hors du pays. En effet, le gouvernement offre un soutien juridique et le développement des relations publiques dans l’espoir de transformer une chaîne coréenne en une marque mondiale aussi grande que McDonald’s. Tous ces conglomérats et monopoles culinaires accrus se font souvent au détriment de la créativité. Les nouveaux talents peuvent difficilement s’épanouir dans un tel environnement et il en résulte que les

jeunes chefs coréens les plus ambitieux s’éloignent désormais de la Corée pour essayer de trouver le succès à Paris. Certains des restaurants coréens les plus acclamés par la critique, « Samiin » (fermé en 2010) et « Samiin 2 », remplacé par “Soon”, “Sobane”, “Shinjung”, “Mandoo Bar” et ‘Gwon’ changé pour “Bap Sain” ont tendance à regarder en dehors des K-Town pour faire des affaires. Paris est le centre de créativité pour les nouveaux talents coréens et offre une expérience culinaire adéquate permettant de partager la culture et l’image. Grâce à un regain d’intérêt pour la culture coréenne auprès du grand public (appelé Hallyu, qui signifie «vague»), des chefs franco-coréens tels que Pierre Sang Boyer “Pierre Sang”, rue Oberkampf, dans le 11e, ont été influencés par la sauce et les plats avec lesquels ils ont gagné leur réputation. Il faut dire que la perception de la cuisine coréenne a beaucoup changé en France. Il est facile maintenant de trouver du Kimchi dans les épiceries asiatiques, ainsi que le Gochujang (pâte de piment rouge). Les restaurateurs créatifs s’étendent vers l’extérieur de Paris: le restaurant moderne coréen “Maru” propose de petites assiettes et on mange assis par terre, à la coréenne. Il est situé à 94550 Cheville-Larue. “Sésame et sel”, au Kremlin-Bicêtre, tout comme le restaurant gastronomique coréen de viande grillée, le “Soon Grill”, se trouvent dans le 3ème, dans un environnement moderne et raffiné. « Sobane », dans le 9e a reçu une décoration minimaliste de la part du guide Michelin. Les K-Town du 15e et celui d’Opéra ne sont peut-être pas les même paradis coréens que par le passé, mais le nombre croissant de restaurants coréens à travers la ville de Paris indique que les K-Towns ne sont plus les seuls endroits où goûter à la culture coréenne. Tous les Parisiens, d’où qu’ils viennent, des quartiers des affaires ou résidentiels sont maintenant disposés à manger coréen. «Jadis, les Coréens étaient surpris et heureux si un non-Coréen pouvait parler du « Bibimbap », du “ Kimchi”, et étaient impressionnés par le fait qu’on parlait bien le coréen», explique un responsable du café d’Opéra. Mais maintenant, il est de notoriété publique de connaître les plats coréens de base.” Lee Chul-chong, ancien chef-propriétaire du “Han Lim”, affirme : « J’ai même des clients français qui comparent la qualité des Kimchi des différents restaurants coréens ! Ce qui me semble important, c’est de ne pas altérer l’authenticité des plats. Il faut les préparer suivant la recette d’origine, quel que soit le client, sans diminuer la quantité d’épices. Certains Français qui sont allés en Corée et y ont dégusté la cuisine locale, n’apprécient pas les versions « revisitées ». auteur : K. Yung 7


JEONJU Cuisine (Food Drink)

Grâce à sa culture vibrante, à ses arômes capiteux et à sa personnalité bien éclairée qui ne dort jamais

Jeonju continue d’attirer même les voyageurs les plus fatigués, en tant que résident local. “Pas d’argent, pas de vie” est la phrase contemporaine des jeunes cosmopolite et sonne plus fidèlement chaque jour qui passe Séoul. Gagner de l’argent s’épanouillit et fleuri ; et continue de battre son sein pécuniaire avec le même genre de brio qu’il évoque des étages héroïques autour de son emblématique Lotte World Séoul de 123 étages, 555 mères haut. Le jour de mon adoléscence jadis et moderne à Jeonju a été conçu pour vivre dans une ville historique et calme. Loin du rythme effréné de Séoul, cette capitale de Chollabuk-do est l’endroit idéal pour ressentir la “lenteur” d’un patrimoine traditionnel coréen préservé. Korail (TGV coréen) exploite un train de Séoul à Jeonju toutes les heures et le trajet dure 1h 24m. Korail Mugunghwa dessert également cette route toutes les 3 heures. Alternativement, Easy Ticket exploite un bus toutes les 15 minutes entre la gare routière de Nambu et Jeonju. et le trajet prend 2h 40m. Jeonbuk Express dessert également cet itinéraire toutes les 30 minutes. Le billet coûte 9€-35€ 8 Ônomad

Voyage vers JEONJU : Hanok Village et festin de gourmand Avec plus de 700 maisons hanok traditionnelles coréennes, le village de Jeonju Hanok est de loin la plus célèbre attraction de Jeonju. Et ne manquez pas l’occasion de visiter le village de Jaman Mural, situé sur les collines à côté du village de Hanok. C’est un village débordant de cafés insolites, de boutiques d’artisanat et, bien sûr, de peintures murales colorées peintes à la main! La capitale alimentaire de la Corée du Sud. Si vous en avez la possibilité, dirigez-vous au marché de nuit de Nambu le week-end pour déguster une cuisine de rue unique. Vous pouvez mordre à pleines dents dans le bibimbap rôti au métal et bien plus encore! En parlant de bibimbap, Jeonju est considéré comme le lieu de naissance de ce plat typique, ce qui en fait un essai incontournable en ville. Il y a millers de l’enseigne Jeonju Bibimbap dans le monde. -Restez informés dans bons plans gourmands coréens en recevant nos newsletters en promotion par email : onomadclub@gmail.com -Voyager vers La Corée et Jeonju eps@eparisseoul.com -S’installer à JEONJU, Corée : globalresidence21@gmail.com

Où manger JEONJU Bibimbap à Paris-Montpellier -Sobane 5, rue de la Tour d’Auvergne Paris 9e (fermé dimanche-midi) +33 1 48 78 02 91. Une cuisine originale qui réinvente les grands classiques coréens avec un soin de la présentation et la fusion des saveurs qualité/prix proche de gare du nord -Sésame & Sel 11 bis rue Roger Salengro 94270 Kremlin-Bicêtre (fermé dimanche) +33 1 56 20 40 66 Après la cessation de “L’Arbre du sel, Paris 15e”, Le chef, Madame Lim, travaille une cuisine coréenne maison et raffinée ici de nouveau - spécialités : Domi jim (dorade à la vapeur aux ingrédients colorés), vermicelles sautés aux fruits de mer, grillades de viande, marmites diverses et variées -Shin Jung 7, rue Clapeyron Paris 8e (fermé dimanche-midi) +33 1 45 22 21 06 Ambiance zen et prix agréables font de cette discrète adresse délicieusement mise en valeur ici à travers une carte courte : salade de méduse ou tartare de boeuf cru épicé, Beignet de poulet, raviolis grillés, crêpe au kimchi, poisson cru, sont tous à découvrir en entrée, -The Cup 8 Place Martyrs de la Résistance, 34000 Montpellier +33 9 72 54 92 97 www.thecup.fr Commande: foodora.fr


Kimchi festival 3e édition le 19 octobre 2019 au Parvis de mairie du Paris 15e arrondissement organisé par association Mes Amis

Où manger Kimchi Jjigae (ragoût

préparé avec Kimchi et viande de porc) -Manna 44, rue de Lourmel Paris 15e (fermé dimanche) +33 1 45 78 80 09 www.manna-paris.blogspot.com Pot-au-feu de kimchi 14€, Tartare de boeuf à la poire et oeuf mélangés sous vos yeux 15€ et spécialités hautes en saveurs : raie crue épicée, ragoût d’os de veau à la viande de tête.

-Bekseju Village 53, rue St Marcel Paris 13e. (fermé dimanche) +33 1 77 11 24 37 www.beksejuvillagefrance.com salades de poulpes à la vinaigrette de Bekseju ou de bulots à la pate de piment Gochujang et Kimchi Chigae sont spécialités. L’alcool Bekseju bien frais ou au ginseng rouge de haute qualité coule à flot ou le Makgeolli à déguster! Formules (midi en semaine) 13-15€ , Carte 25-58€

Où manger Dak-gang-jeong

(Kkanpunggi), poulet rôti à l’ail (toujours possible pour plats à emporter) à Paris

Où manger Samgyetang

(soupe de poulet au ginseng. La quantité est limitée, la réservation est recommandée pour la préparation préalable)

-Han Lim 6, rue Boulainville Paris 5e (fermé lundi et mardi-midi) +33 1 43 54 62 74 Depuis l’ouverture 1981, le plus ancien restaurant coréen a eu une réputation par appelé ici “Kkanpunggi”(Dak-gang-jeong), ailes de poulets frites à l’ail qu’on agrippe entre les doigts et qu’on lèche jusqu’à l’os et korean barbecue aux fines lamelles de boeuf mariné à cuire sur plaque par vous et encore salade de bulots pimentée.

-Jong-no Samgyetang 23 Boulevard de Port-Royal, Paris 13e (fermé dimanche) +33 9 83 70 66 02 Quelques énergiques recettes de poulet. Samgyetang (coquelet farci au riz et bouillon ail, jujube, ginseng): fameuse poule au pot d’un autre monde. Ragoût de tofu: stimulant. Prix: de 20 à 35 €.

-Dochilak 96 rue de Lévis Paris 17e / 22 rue St. Augustin Paris 2e / 15 rue Littré Paris 6e. Ouvert tous les jours. https://dochilak.com/ Une soupe du jour, une entrée parmi 4 choix et un plat parmi 16 choix.

Dokkebi BossamKimchi

Où manger Bossam Kimchi

(le porc à la vapeur qui se mange enveloppé avec Kimchi aux huîtres, Tofu) à Paris -Hanzan 11, rue Beaugrenelle Paris 15e (fermé lundi) +33 1 45 71 63 53 Une cuisine raffinée et authentique de l’ancien boucher coréen, le tout dans une ambiance familiale mais aussi moderne. Spécialités : Bossam

Kimchi recommandé, Porc et boeuf Boulgogi, sauté traditionnel de crevettes et calamars. menu.13-16€ -Kook Il Kwan 12, rue Gomboust Paris 1er (fermé dimanche) +33 1 42 61 04 18 Depuis 1980, les deux chefs originaires de Jeonju (ville originaire du Bibimbap et de la cuisine coréenne) vous séduiront ... Lieu idéal pour y découvrir des plats typiques coréens, barbecues.

-Dokkebi 33, rue des petits champs Paris 1er (ouvert tous les jours) +33 1 42 61 79 48 une grande variété de plats : Bossam, Dak-gang-jeong, ailes de poulets sautées, Japchae recommandés ici. ragout kimchi, galettes coréennes, salade de méduse, Bulgogi… Les menus : midi 9-17€ , soir 35-75€ 9


ASIA FIRST

LE FUTUR EST ASIATIQUE:

Commerce, conflit et culture au 21e siècle - Parag Khanna Parag Khanna, conseiller en stratégie mondiale et auteur à succès, a consacré de son temps pour partager avec GCR son point de vue d’expert sur l’influence et la domination croissantes de l’Asie. La connectivité a remplacé la division comme nouveau paradigme de l’organisation globale. Aujourd’hui, l’importance d’une ville dans le monde tient d’abord à la concentration des flux. Mexico, qui est une ville immense, n’est pas un « hub » global. La puissance provient plus de la concentration des flux que du contrôle du territoire ou de sa taille, comme le montre le cas de Singapour. Selon la pensée cartographique traditionnelle, la géographie détermine notre destinée. Cette idée est battue en brèche depuis toujours par les migrations et, maintenant, par la connectivité. Aujourd’hui, sur une carte, les lignes qui comptent ne sont plus les frontières. Les pays dépensent plus d’argent pour leurs infrastructures que pour leur défense. La géographie fonctionnelle des services est à l’opposé de celle de la souveraineté. Elle montre comment nous utilisons le monde, l’économie, les ressources naturelles. C’est ce qui permet le jeu de l’offre et de la demande, qui ne peut exister sans les infrastructures de connectivité, plus importantes que les frontières. Villes et infrastructures durent plus longtemps que les pays. La géographie fonctionnelle est plus robuste que la géographie politique. 10 Ônomad

Interview avec Parag Khanna Votre dernier livre, “L’avenir est asiatique : commerce, conflits et culture au 21e siècle”, a récemment été publié. Quel était le statut de l’Asie jusqu’à présent et comment évolue-t-il? Parag Khanna : Pendant des décennies, voire des siècles, l’étendue géographique de l’Asie a été négligée. Cinq cents ans de divisions coloniales et un demi-siècle de rivalités nées de la guerre froide ont jusqu’à présent réduit l’Asie à la somme de ses parties. Le quart de siècle qui s’est écoulé depuis la guerre froide a lancé un véritable processus de réintégration asiatique qui remonte au monde précolonial du 15ème siècle et plus tôt. L’Asie occidentale, ou ce que nous avons l’habitude d’appeler le Moyen-Orient, négocie désormais beaucoup plus avec le reste de l’Asie qu’avec l’Europe ou les États-Unis. Toutes les sous-régions de l’Asie - telles que l’Asie du Sud, l’Asie du Sud-Est, l’Asie centrale et l’Asie de l’Est - entretiennent entre elles des liens croissants en matière de commerce et d’investissement. Elles renouent avec confiance et établissent des complémentarités économiques. Tout cela était déjà bien amorcé avant le lancement récent par la Chine de l’Initiative de ceinture et de route (BRI), le plus grand plan d’investissement coordonné dans l’histoire de l’infrastructure, qui servira principalement à rapprocher encore plus les sous-régions asiatiques. Si l’avenir est vraiment asiatique, quels sont les facteurs clés de la croissance de l’influence asiatique dans le monde? PK: L’asianisation du monde est bien sûr multidimensionnelle. Les données démographiques et économiques sont essentielles: l’Asie abrite plus de la moitié de la population mondiale et toutes les économies à la croissance la plus rapide du monde. Les Asiatiques sont forcément présents dans le monde entier pour acquérir des ressources et accéder aux marchés pour leurs exportations en plein essor. Ils ont également constitué les réserves de change les plus importantes, essentielles à la stabilité financière mondiale, notamment en maîtrisant les taux d’intérêt des États-Unis et en achetant des euro-obligations.


INTERVIEW L’internet mobile et les finances ont propulsé l’économie comparée et ont permis aux économies asiatiques de réaliser des économies importantes sur les produits financiers sous forme de crédit et d’assurance. La Chine est un chef de file des paiements mobiles et des écosystèmes tels que WeChat ont été reproduits dans la région. L’Asie compte ainsi rapidement des milliards de consommateurs urbains connectés et les gouvernements asiatiques consacrent jusqu’à 30% de leur budget (comme l’Inde) aux infrastructures, en particulier pour les villes. De quelle manière la diversité ethnique, culturelle et linguistique de la région profite-t-elle à ses ambitions économiques et politiques?

En outre, le Japon et maintenant la Chine ont d’énormes stocks d’investissements directs étrangers (IDE) et continuent d’acquérir des actifs dans le monde entier bien au-delà de l’Asie. Les Asiatiques constituent également la plus grande source de migrants dans le monde: les diasporas chinoise et indienne se développent sur tous les continents, même en Amérique du Sud. En effet, les Indiens ont les revenus les plus élevés de tous les groupes ethniques en Amérique. Vous parlez de la Chine qui a «joué un rôle de premier plan dans la construction des nouvelles routes de la soie en Asie mais ne conduira pas seule». Quels pays pensez-vous voir aux côtés de la Chine dans ce nouvel ordre mondial, si vous deviez le décrire comme tel?

PK: L’erreur la plus importante dans la pensée stratégique contemporaine que je cherche à corriger avec ce livre est la notion que la montée de la Chine et son BRI tracent un chemin linéaire vers l’hégémonie chinoise en Asie et même la suprématie mondiale. C’est faux. Le monde est irrémédiablement multipolaire et l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie jouent un rôle communément important. Au cours de son histoire, l’Asie elle-même a été multipolaire et non unipolaire. Seuls les Mongols ont pu s’affirmer sur toute l’étendue de l’Asie, s’étendant du monde arabe à l’Europe. Mais aujourd’hui, toutes les civilisations asiatiques - chinoise, japonaise, indienne, persane, turcque et russe - sont fortes et confiantes. Aucune ne veut être un vassal chinois. Les investissements de la Chine dans les infrastructures accélèrent en

fait le processus de modernisation d’États tels que le Pakistan et l’Ouzbékistan. Plutôt que de les dominer, la Chine leur donne en réalité les outils et la capacité de se gouverner plus efficacement et de diluer l’empiétement des Chinois. Cela correspond parfaitement à l’histoire impériale: les empires parrainent les forces qui leur résistent. Les Britanniques ont trop bien appris cela en Inde!

PK: C’est une question merveilleuse! L’expérience occidentale nous enseigne que la diversité engendre la différence, mais la diversité profonde de l’Asie, composée de grandes civilisations enracinées, séparées par des montagnes et de l’eau, et représentant des langues mutuellement inintelligibles, raconte une histoire différente: aucune culture asiatique ne pourrait jamais vaincre les autres comme l’ont essayé les Européens. les uns aux autres.

,,

En effet, l’attrait du marché asiatique est si fort que l’Europe a fortement divergé sur la manière de gérer la montée de l’Asie: alors que les États-Unis lancent des guerres commerciales pour réduire les excédents asiatiques, l’Europe exporte ses excédents vers l’Asie.

Les Asiatiques sont tout simplement trop détachés les uns des autres et égocentriques. Ils réalisent intuitivement qu’ils doivent vivre et laisser vivre. Cela signifie qu’il y a des limites inhérentes à l’influence réelle que la Chine peut avoir sur ses voisins, comme ce fut le cas avec le Japon au milieu du 20e siècle. Toutes les puissances asiatiques poursuivent leurs ambitions et, même si leurs intérêts se chevauchent et parfois même s’opposent, elles vont se battre plus difficilement en marge qu’au cœur de leurs préoccupations. Ils escaladent les eaux de la mer de Chine méridionale entre eux pour ne pas conquérir des sous-régions entières telles que l’Asie du Sud-Est. En dehors de l’Asie, une sorte de division du travail est en train d’émerger, qui est passée largement inaperçue. Le Japon et la Chine ont ouvert de nombreuses portes grâce à leurs investissements en infrastructures et à leurs accords sur les ressources, mais l’Inde est arrivée derrière eux, concluant des accords pour la formation des travailleurs et la mise en œuvre de plateformes logicielles. Leurs ambitions se renforcent par inadvertance.

la notion que la montée de la Chine et son BRI tracent un chemin linéaire vers l’hégémonie chinoise en Asie et même la suprématie mondiale. C’est faux.

Dans quelle mesure la croissance urbaine et numérique est-elle la pierre angulaire du succès futur de l’Asie? PK: L’urbanisation et la numérisation ont connu une croissance sans précédent en Asie. Les grappes de mégapoles d’Asie comptant près de 100 millions d’habitants sont quatre ou cinq fois plus nombreuses que leurs homologues occidentales telles que Los Angeles et Londres. Les économies de services urbains sont la raison pour laquelle les Asiatiques font un bond en avant dans la trajectoire de développement du secteur manufacturier traditionnel et créent plutôt des emplois dans la construction, la logistique, l’hôtellerie et d’autres domaines.

11


ARTIST

Lee Hye-Soon

Exposition : 18-29 Février 2020 Fréquentée régulièrement à Paris avec les exposions en groupe au Grand Palais consécutivement depuis une quinzaine d’années, l’artiste coréenne LEE HYE-SOON ne cesse pas sa passion et son obssession caractéristique sur la nature elle-même. Un réel voyageur perpétuel ayant une vision d’une beauté coloriée de fleurs typiquement coréennes mais une vie cosmopolite de goût universel et de curiosité enfentine, cette artiste a l’envie de garder et montrer la nature plutôt spirituelle du jardin privé de sa maison-atelier suffisamment isolé de mégalopole Séoul où elle interpréte une œuvre de façon différente, de nouveau. Récemment, elle a été imbibé de la texture et de la beauté matérielle des métaux qu’elle était obligée de maîtriser les techniques de soudage pour le travail des métaux : or, argent, cuivre.... des coloris floraux illustrés par l’art des métiers en métal qui sont difficiles à trouver ce genre de la peinture contemporaine coréenne, les accessoires décoratifs, colliers, bracelets, badges en métal craft serions également exposés dans l’exposition à Paris. Suite à une exposition invitée de Koreanisher Farbe (Korea Kulturhaus Osterreich. Vienna, Autriche 2017), nous avons une chance de découvrir sa vision propre matérialiste et de la rencontrer plus intimement à une galerie Mona Risa en février 2020 pendant 2 semaines à deux pas de l’ambassade de Corée à Paris 7e. Par la suite son calendrier est déjà plein à Palais des Arts (avril) et FIAF (septembre) à KOEX de Séoul en 2020. Exposition Lee Hye-Soon Période : 18-29 Février 2020 Vernissage à 18:00 le 18 février 2020 Galerie Mona Risa, 32 Rue de Varenne 75007 Paris http://hsoon.creatorlink.net/NEWS-REPORT 12 Ônomad

Lee Hye-SoonApres avoir suivi les cours d’arts plastiques dans la celebre univer-site Ewha (Seoul, Coree du Sud), Lee Hye-Soon a rapidement trouve son chemin pictural. En effet, sa recherche l’a incitée à dépasser une approche de la nature trop matérialiste pour aller vers une dimension sublimée. Ses tableaux nous donnent à voir des paysages revisites, réinterprétés par son talent et ainsi, au-delà des fleurs ou autres éléments qu’elle met en scène, c’est tout un univers quasi cosmique qui s’offre à nous. Les compositions de Lee Hye-Soon me font penser à des jardins magiques, emplis de sortilèges, ou les aventures qu’il nous montrent sont plus spirituelles que physiques. J’aime particulièrement les oeuvres realisées sur der supports circulaires qui peuvent évoquer des cartes du Ciel et de la Terre, nous proposant des cheminements de réflexion et déméditation. Ce qui est certain, c’est que ce travail qui semble être un moyen pour l’artiste de se situer dans l’universellement grand, résulte d’une communion efficace avec la nature qu’elle parvient à traduire, enobservant avec attention ce qui l’entoure lors de ses promenades inspiratrices. Pour Lee Hye-Soon, l’être humain n’est pas dissociable de ce qui l’entoure: il fait partie d’un tout et ne peut exister sans tout ce qui fait le monde. Les oeuvres de cette artiste coréenne sont assimilables à des paroles, à des actes transcrits sur la toile avec émotion et sensibilité qui veulent nous faire comprendre le mystère de la vie et la richesse spirituelle qu’il contient. Aprés avoir participé au Salon d’Autômne, Lee Hey-Soon est exposée au Carrouseldu Louvre, a l’occasion du Salon du la Societe Nationale des Beaux-Arts où sa participation est très certainement remarquée. Patrice de la Perrière (Univers des art de art critic) France.


INTERVIEW avec Parag Khanna

PK: Les entreprises mondiales ou multinationales doivent prendre conscience de la troisième vague de croissance majeure de l’Asie, qui se renforce. Après le Japon et les tigres asiatiques (Corée du Sud, Taïwan, Hong Kong et Singapour) au cours des années 1960 à 1980, la Chine est ensuite devenue l’usine du monde et la plus grande économie. La prochaine vague de croissance en Asie est propulsée par les 2,5 milliards d’habitants de l’Asie du Sud et du Sud-Est - du Pakistan aux Philippines. Ces pays représentent déjà environ 6 000 milliards de dollars de PIB et connaissent une croissance rapide. L’Inde est aujourd’hui le pays dont la croissance est la plus rapide au monde. L’Asie du Sud-Est (les 10 États membres de l’ANASE) compte la moitié de la Chine et de l’Inde (seulement 700 millions d’habitants), mais a déjà un PIB supérieur à celui de l’Inde (plus de 2 500 milliards USD) et reçoit chaque année plus d’IED que la Chine. En outre, ces pays représentent des économies politiques beaucoup plus ouvertes que l’économie chinoise, de sorte que les entreprises ont des possibilités considérables de pénétrer leurs marchés par rapport à celles de la Chine. Parce que le secteur technologique occidental n’a jamais eu un accès complet au marché chinois, il est en avance sur la courbe en se concentrant sur l’Asie du Sud et du SudEst. Les autres secteurs devraient suivre son exemple. Comment, selon vous, le système mondial va-t-il réagir à la montée en puissance de l’Asie et à l’asianisation des économies et des sociétés qui en résulte? PK: La notion d’ascension de l’Asie remonte à plusieurs décennies et correspondait

au «soleil levant» du Japon, qui a attiré l’attention de l’Occident avec son expansion agressive des affaires. Plus récemment, la montée de la Chine a polarisé le monde, les États-Unis y voyant une menace, alors que la plupart des autres pays, y compris l’Europe, voient la Chine comme une opportunité. Au fur et à mesure que l’Asie se rassemble, ses puissances trouvent des moyens de s’accommoder et de s’accorder sur des règles d’engagement communes. Actuellement, 23 des 25 accords de libéralisation des échanges en cours de négociation sont conclus en Asie. De nouveaux organismes multilatéraux tels que la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures ont pour la plupart des membres asiatiques et démontrent la capacité des Asiatiques à résoudre les problèmes asiatiques. Nous ne sommes pas encore au stade où le système mondial apprécie l’Asie dans son ensemble et comprend son impact collectif sur le monde. C’est pourquoi j’ai écrit ce livre!

,,

L’avenir est asiatique: le commerce, les conflits et la culture au XXIe siècle sont décrits comme offrant «une feuille de route stratégique mondiale pour les décennies à venir». Comment exactement les entreprises devraient-elles se positionner pour tirer profit de la dynamique géo-économique changeante à laquelle nous assistons?

«Asia First» est en marche depuis un certain temps et s’avance sous la surface depuis les années 90. C’est le point de départ de “The Future Is Asian”

Le concept «Asia First» est-il une représaille directe contre les idéaux protectionnistes de «America First», ou est-ce plutôt une approche plus stratégique et plus productive? PK: Il serait trop généreux d’appeler «America First» une stratégie, à moins que son objectif ne soit de nuire à ses propres intérêts. Une politique industrielle telle que celle que pratiquent agressivement les pays asiatiques est efficace pour les pays

en développement, mais les États-Unis ont besoin d’immigrants dans de nombreux secteurs et les effraient. Les entreprises étasuniennes mondiales dépendent des revenus étrangers, mais les États-Unis s’éloignent des accords commerciaux. Ils se coupent de sources de croissance importantes - en particulier d’Asie - à un moment où l’Asie apprend à répondre à ses propres besoins en étant moins dépendante des États-Unis. Lorsque l’Amérique reviendra à la table, il sera peut-être trop tard. En ce sens, «Asia First» est en marche depuis un certain temps et s’avance sous la surface depuis les années 90. C’est le point de départ de “The Future Is Asian” et depuis lors, l’Asie s’épanouit beaucoup plus rapidement qu’on aurait pu l’imaginer. Comment votre intérêt pour la région s’est-il développé? PK: Eh bien, pour une chose: je suis asiatique! Je suis né en Inde et ai des racines de l’Asie centrale à la Méditerranée. J’ai passé mon enfance à Abu Dhabi et à Dubaï, dans la région du Golfe, que mon grand-père diplomate a toujours insisté pour que l’on appelle «Asie occidentale», comme les Indiens l’ont toujours désignée. À l’université, j’ai développé un intérêt théorique pour les systèmes régionaux. C’est l’approche que j’adopte pour l’Asie dans ce livre. En même temps, je me suis immergé dans l’histoire de l’Asie centrale et j’ai commencé à voyager régulièrement dans les anciennes républiques soviétiques. En faisant des recherches pour mon premier livre, “The Second World”, j’ai passé beaucoup de temps dans cette région, puis j’ai parcouru l’ouest de la Chine, puis la Russie. Par la suite, j’ai été conseiller auprès des forces d’opérations spéciales américaines en Irak et en Afghanistan. Au cours de tous ces voyages, j’ai pu constater directement l’ouverture des frontières asiatiques et la résurrection régulière des anciennes routes de la soie. Je crois que c’est vraiment la tendance géopolitique et géoéconomique la plus significative du 21ème siècle. (interview GCR)

Recherche freelances

Recherche freelance des articles-reporters de la tendance HALLYU : K-pop, cuisine, voyage, musique, cinéma, drama, lifestyle, fasion, littérature...

Nous sommes à la recherche de freelances pour certain de nos articles. Si vous êtes intéressé, envoyez-nous un mail avec deux articles, une lettre de motivation et vos coordonnées à l’adresse mail suivante : Onomadclub@gmail.com 13


Second Passport

L’occasion Pour Les Africains de Maximiser Leur Influence Sur La Scène Mondiale Les plus riches en afrique La richesse en Afrique est à la hausse. Les particuliers africains bien nantis sont bien placés pour tirer parti des programmes mondiaux de migration des investissements. Le rapport sur la richesse en Afrique d’AfrAsia Bank, publié récemment, a révélé que les quatre plus grandes concentrations de millionnaires en dollars américains sur le continent d’Afrique sont l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Nigéria et le Kenya. Cependant, dans un climat mondial instable, caractérisé par une incertitude politique, écologique et économique grandissante, il existe des raisons impérieuses de réévaluer exactement ce que signifie être riche aujourd’hui - en Afrique et au-delà. La mondialisation nous a amenés à un moment où il est de plus en plus courant de naître dans un pays, d’être éduqué dans un autre, d’avoir des racines, des relations et des résidences dans de nombreux endroits entre les deux. C’est à cause de ces circonstances que le mouvement de migration des investissements, en plein essor, a commencé à exploser il y a quelques années. De nos jours, de plus en plus de personnes à travers le monde se sentent convaincues d’explorer le concept de planification de la citoyenneté sous la forme d’une migration d’investissement. Pour les non-initiés : la migration d’investissement est le processus par lequel les personnes éligibles peuvent acquérir une résidence ou une citoyenneté alternative dans un nouveau pays en échange d’une contribution économique importante à ce pays. Le passeport sud-africain arrive à la 53e position, avec un accès sans visa ou visa à l’arrivée pour 100 destinations. Le passeport kényan arrive à la 72e place, accordant des accès à l’arrivée à seulement 71 pays dans le monde. Le passeport égyptien occupe la 92e place avec 49 destinations sans visa ou visa à l’arrivée, et le Nigeria, à la 95e place, offrant à ses détenteurs un accès sans visa ou visa à l’arrivée à 46 destinations mineures à travers le monde. Les citoyens fortunés de tout le continent africain appartiennent à la catégorie du «profil économique fort et accès mondial limité». Ils ont essentiellement les moyens financiers de voyager, de faire des affaires, d’investir. et vivent partout dans le monde, mais sont bloqués par un passeport restrictif. En comparaison, le passeport sud-africain se porte mieux, se classant 53e avec un accès sans visa ou visa à l’arrivée pour 100 destinations. La disparité évidente entre richesse et mobilité mondiale chez les particuliers africains fortunés (HNWI) signifie que ceux-ci sont idéalement placés pour tirer parti des programmes de migration d’investissements dans le monde. 14 Ônomad

“Deuxième Passeport” pour les citoyens d’Afrique. Les citoyens d’Afrique peuvent voyager à travers le monde avec un passeport sans gaspiller le temps et l’argent nécessaires pour l’obtention d’un visa, et profiter ainsi de la liberté, de la mobilité et de l’accès à plus de 114 (100) pays sans visa, y compris ceux de la zone Schengen, de l’Union européenne, le Royaume-Uni, Hong Kong et bien d’autres encore.

Bien qu’ils soient deux des passeports les plus solides d’Afrique, les passeports sud-africain et kenyan accordent à leurs détenteurs une mobilité limitée et frustrante dans le contexte mondial. Pour mettre en perspective les avantages de la citoyenneté secondaire liés aux voyages, on dira qu’un citoyen sud-africain qui investirait dans un passeport maltais augmenterait immédiatement le nombre de destinations auxquelles il pourrait accéder sans visa (de 71 à 183), y compris le Canada, l’ensemble de l’Europe, l’espace Schengen et les États-Unis. En outre, le fait de conserver une citoyenneté alternative élimine également une bonne partie des inconvénients et des délais d’attente associés aux demandes de visa et aux processus de renouvellement ou de remplacement du passeport. Cependant, bien que l’aspect le plus prestigieux de la résidence alternative ou de la citoyenneté réside dans la mobilité accrue qu’il confère, les avantages les moins prestigieux sont sans doute aussi les plus précieux : l’éducation et d’autres avantages qui vont au-delà d’une mobilité améliorée. Les avantages supplémentaires de la détention d’une citoyenneté alternative sont multiples. En plus de donner aux individus le droit de voyager, d’échanger et de s’installer dans un nombre considérablement plus grand de pays et de régions, ainsi que le droit d’avoir accès à tous les avantages dont bénéficient les autres citoyens de l’État qui octroie la citoyenneté, la résidence alternative et la citoyenneté constituent une stratégie de plus en plus populaire pour les investisseurs cherchant à développer leurs réseaux d’affaires, à protéger leurs actifs existants et à multiplier les possibilités d’éducation pour leurs enfants. En effet, l’une des principales motivations des HNWI (les particuliers fortunés) qui envisagent la migration d’investissement est la position avantageuse dans laquelle elle place leurs enfants pour tirer parti d’une éducation de niveau mondial. Une éducation internationale est considérée comme un investissement extrêmement précieux dans le capital humain, clé de la réussite scolaire et professionnelle dans un monde globalisé. Cependant, à mesure que les politiques d’immigration changent et que le processus d’obtention d’un visa d’étudiant devient plus complexe et plus difficile, une place dans une grande école ou université indépendante ne peut pas nécessairement être prise en compte.


Nos notions traditionnelles de citoyenneté sont «dépassées». «C’est l’une des rares choses au monde qui reste liée aux liens du sang ou à votre lieu de naissance» Étudier en tant que résident, être diplômé en tant que citoyen Dans le climat isolationniste qui règne actuellement au Royaume-Uni et aux États-Unis, il est de plus en plus difficile d’obtenir des visas d’étude, en particulier pour les étudiants africains, en raison de contrôles d’immigration plus stricts et d’un préjugé anti-africain inquiétant face aux demandes rejetées rapportées par plusieurs universités. Pour éviter de se perdre dans un processus périlleux de demande de visa d’étudiant, les programmes de migration d’investissements offrent la possibilité de protéger les droits de résidence avant de faire une demande à une université. En outre, étant donné que la plupart des jeunes professionnels en herbe doivent à présent étudier au moins jusqu’à la maîtrise pour entrer sur le marché du travail, ils passeront environ cinq à six ans à l’université. Voilà qui est intéressant : de nombreux programmes de résidence, qui sont généralement moins chers que les programmes de citoyenneté, disposent de la possibilité intégrée de convertir une résidence en citoyenneté après à peu près la même période. En d’autres termes, si l’on veut obtenir la résidence en investissant dans un pays européen, au début de la carrière universitaire de son enfant, il y a de fortes chances pour que son enfant puisse convertir ce droit de résidence en une citoyenneté à part entière au moment de décrocher son diplôme. Que les enfants rentrent chez eux après avoir obtenu leur diplôme pour réinvestir leurs compétences sur le marché national, ou qu’ils choisissent de poursuivre leur carrière à l’étranger, ils seraient dans une position idéale pour prospérer. Un autre avantage non négligeable est que l’empreinte mondiale du pays d’origine se développerait sans aucun doute également à mesure que la nouvelle génération grandit avec une vision du monde et des réseaux internationaux. Pour les parents fortunés qui souhaitent que leurs enfants se fassent une place parmi l’élite étudiante internationale et jettent les bases du succès futur, les droits de citoyenneté ou de résidence dans un pays où le niveau d’instruction est élevé sont le meilleur investissement qu’ils puissent faire. Faire pencher la balance Avec le lancement récent du programme de citoyenneté par investissement de la Turquie, du Vanuatu, du CIU des îles Caraïbes, du Monténégro, il est plus évident que la migration des investissements est devenue une stratégie de plus en plus courante en

matière de gestion du patrimoine. Les programmes de migration d’investissement sont fondamentalement conçus pour gérer la combinaison de risques et d’opportunités - et quand ils sont associés au potentiel de sécurisation des opportunités d’éducation pour les enfants, ils représentent une stratégie inébranlable pour toute HNWI cherchant à se développer hors Afrique.

Brexit, l’UE et les implications mondiales plus larges Bien que le Brexit soit à trois mois à peine, l’accent est mis sur son incidence sur la politique de migration vers le Royaume-Uni. Comme le note Madeleine Sumption de l’Observatoire des migrations de l’Université d’Oxford, ces questions restent sans réponse, même à l’approche de la date limite. «Contrairement à la politique commerciale, l’avenir de la politique d’immigration au Royaume-Uni ne dépend pas fondamentalement du fait que le Royaume-Uni laisse ou non un accord à l’UE. Dans les deux cas, il y aura une ‘période de transition’ jusqu’au mois de décembre 2020 au moins, au cours de laquelle la libre circulation des citoyens de l’UE vers le Royaume-Uni continuera plus ou moins telle qu’elle fonctionne aujourd’hui. Après cela, le Royaume-Uni devrait mettre en place un nouveau système d’immigration. Les détails complets n’ont pas encore été annoncés, mais cela rendra beaucoup plus difficile un règlement à long terme pour les citoyens de l’UE. Et les citoyens britanniques qui souhaitent s’établir dans les pays de l’UE après le Brexit seront également confrontés à des régimes d’immigration plus restrictifs. “ Parag Khanna, fondateur et associé directeur de FutureMap, a déclaré: «Pendant plus d’un an, l’ancien secrétaire britannique aux Affaires étrangères, Jeremy Hunt, avait déclaré que l’Asie devrait être un pilier de la politique du pays. Politique économique mondiale post-Brexit. Si le Royaume-Uni parvient effectivement à faire progresser le libre-échange des services avec les pays asiatiques, il faudra que davantage de citoyens britanniques passent du temps en Asie pour générer des affaires dans des secteurs tels que la finance, le conseil, l’éducation, etc... . Toutefois, à l’heure actuelle, les marchés asiatiques n’ont pas privilégié les accords de libre-échange individuels conclus avec le Royaume-Uni par rapport à leurs négociations en cours avec l’UE. ” 15


Top Schools, Live & Work in the U.S.

NEW YORK MANHATTAN

EB-5 US IMMIGRANT Investor Program

WhatsApp +44 74667 82323 globalresidence21@gmail.com


C’est l’âge de l’Asie en matière de passeport

Lotte World, Séoul

Japon, Singapour et Corée du Sud À mesure que l’économie mondiale se transforme et que les centres de pouvoir évoluent, la domination de l’Asie semble se maintenir. Depuis le printemps 2019, le Japon, Singapour et la Corée du Sud occupent la première place du classement du Passeport, « Qualification Index », avec un score de 189 pays sans visa à l’arrivée, sur un maximum de 227. Les résultats consolident 12 mois de domination asiatique, après que le Japon se soit hissé à la première place en février dernier. Les citoyens de ces trois pays asiatiques peuvent désormais accéder à 189 destinations dans le monde entier sans qu’il leur soit exigé un visa d’entrée au préalable. Pendant 14 ans – chiffres basés sur des données exclusifs de l’Association du transport aérien international (IATA) - la première place a été occupée par un pays européen ou par les États-Unis. Cependant, cela a radicalement changé en 2018 par l’effet du Brexit, les pays asiatiques étant désormais solidement établis en tant que leaders mondiaux en matière d’activité économique mondiale et de mobilité mondiale. L’Allemagne, la Finlande, la Suède, le Danemark, l’Italie et le Luxembourg se classent aux places suivantes. Avec un score de 184, le Royaume-Uni et les États-Unis restent à la 6ème place - la position la plus basse occupée par les deux pays depuis 2010 et une baisse significative par rapport à leur 1ère place en 2014. Bien que les positions dans le top 10 de l’indice soient restées relativement stables depuis la dernière mise à jour de juillet, il ya eu des changements frappants dans le classement. Plus particulièrement, les EAU ont grimpé de cinq places extraordinaires au cours des trois derniers mois après avoir obtenu l’accès sans visa à un certain nombre de pays africains, dont l’Afrique du Sud, et occupent désormais la 15e place. La Syrie, l’Iraq et l’Afghanistan restent au bas du classement, avec, respectivement, des scores de 29, 27 et 25 sans visa à l’arrivée.

Le pouvoir des passeports et la liberté économique La « Puissance du passeport » existe souvent en forte corrélation avec la suppression des visas et d’autres avantages, tels que la liberté des entreprises et des investissements, l’indépendance du pouvoir judiciaire, la santé financière et les droits de propriété.

Uğur Altundal et Ömer Zarpli, chercheurs en sciences politiques de l’Université de Syracuse et de l’Université de Pittsburgh, ont observé que «les pays ayant un nombre élevé de visas ont également un rang de liberté économique supérieur, en particulier en matière d’investissement, de finances et de liberté commerciale». Singapour est un exemple particulièrement frappant de cette corrélation positive, qui occupe la première place dans presque tous les indicateurs économiques et occupe la première place du Passeport Qualification Index. Les EAU, l’Afrique et les objectifs changeants de la politique étrangère. Bien que l’incertitude sur le Brexit et son impact n’aient pas encore affecté la position du Royaume-Uni dans le classement, les décisions de politique étrangère prises dans d’autres parties du monde ont entraîné des changements spectaculaires. Le remarquable élan des Emirats arabes unis à l’égard du « Passeport Qualification Index » a été attribué à un certain nombre de facteurs, notamment la détermination du pays à se positionner comme un acteur de premier plan au Moyen-Orient. Lorraine Charles, du « Center for Business Research » de l’Université de Cambridge, a déclaré: «Même si les EAU ne sont peut-être pas en mesure de rivaliser avec l’Arabie saoudite - hégémonie régionale - en termes de puissance militaire et de puissance économique, la projection de son pouvoir souple est incontestée dans le CCG, pour faire des EAU un exemple d’inspiration pour les autres pays du CCG. “ Commentant le nombre d’accords de visa récemment signés par les EAU avec des pays africains en particulier, Ryan Cummings, Directeur de Signal Risk, a déclaré que “la stratégie des EAU a été particulièrement évidente sur le continent africain, permettant au pays d’accroître considérablement son influence dans une région du monde qui reste la clé du développement économique mondial ». Il note en outre que «l’Afrique subsaharienne continue de faire des progrès en termes d’amélioration de son accessibilité, en assouplissant les restrictions en matière de visa, la Namibie et la Sierra Leone étant les exemples les plus récents d’États ayant assoupli leur politique de visa afin d’attirer les investissements étrangers, revenus et compétences nécessaires pour atteindre leurs objectifs de développement économique ».

17


Sécuriser l’Avenir de Famille avec résidence alternative et citoyenneté

- Résidence Corée du Sud, Japon, Singapour (3 mois) - Thaïlande Elite de 5 à 20 ans (15 jours) - Dubai - Turkey (1 mois) Asie-Europe-Amérique RBI / CBI Programmes

globalresidence21@gmail.com +33 7 82 55 07 02 whatsapp

Global Residence 21 18 Ônomad


S’installer par un investissement en Corée du Sud, le pôle régional de l’Asie Il n’y a pas si longtemps, la Corée du Sud était un pays de migrants. Comme les Philippines aujourd’hui, ils ont envoyé des travailleurs tels que les agriculteurs, les mineurs et les personnels domestiques à l’étranger pour des emplois où la demande était supérieure à l’offre. Aujourd’hui, on compte 1.7 million d’expatriés en Corée du Sud dont la majorité est constituée d’ouvriers industriels.

Corée du Sud avec le visa d’investisseur D-8

Obtenir un visa d’investisseur pour la Corée du Sud était simple. Il n’y a pas longtemps encore, il était possible de rentrer avec seulement 25 millions de won (20.000 USD en dollars d’aujourd’hui), de prétendre créer une entreprise, de retirer cet argent et de vivre indéfiniment en Corée du Sud. Si vous avez une idée géniale, pour les startups prometteuses du monde entier ayant pour objectif clair de se développer en Asie en utilisant le marché coréen comme tremplin, les exigences dans le pays comme Hong Kong, Singapour, il y a une subvention dans les secteurs d’activité suivants : Big data, Smart City, Smart Factory, FinTech, AI. Sinon, il est possible de créer une startup par investissement de 100.000 USD. Aujourd’hui, on peut obtenir un visa d’investisseur avec 300 millions de won - environ 234.000 USD – injectés dans sa propre petite entreprise en Corée du Sud. Vous devez, pour cela, montrer que l’entreprise est viable lorsque vous renouvelez votre visa. Le visa d’investisseur sud-coréen est un hybride de visa d’entrepreneur qui encourage les innovateurs à révéler leurs talents dans un nouveau pays, et un visa d’investisseur qui cherche à s’éterniser dans le pays.

Un deuxième passeport sud-coréen

Entre 1868 et 2015, 581 000 personnes sont légalement devenues japonaises. Et, même aujourd’hui, des milliers de personnes sont naturalisées chaque année. Cependant vous devez être prêt à renoncer à toutes vos autres nationalités.

Par contre, il est possible de devenir un citoyen naturalisé de Corée du Sud tout en gardant votre nationalité d’origine. En Corée du Sud, la loi sur la double citoyenneté a récemment été modifiée pour libéraliser le processus de double citoyenneté. À la lumière de cela, la plupart des étrangers n’auront pas besoin de renoncer à leur nationalité existante s’ils deviennent citoyens sud-coréens. La naturalisation peut s’effectuer de trois manières différentes, mais la plus typique pour un étranger est la «naturalisation générale». Selon ce processus, vous devez avoir vécu en Corée du Sud pendant cinq années consécutives et avoir une connaissance générale de la culture coréenne. Sur le plan technique, les exigences coréennes en matière de citoyenneté sont similaires à celles de nombreux pays européens: éligibles sur la base d’une indépendance économique durable avec une source de revenus stable ainsi qu’un certain niveau de langue (cinq années consécutives physiquement et légalement dans le pays). De plus, vous devez également être capable de parler au moins le coréen de base. Il est possible d’obtenir votre citoyenneté plus tôt, mais vous devez être marié à un ressortissant sud-coréen depuis au moins deux ans. Le coût d’un visa est naturellement onéreux, surtout si l’on considère que de nombreux Chinois et autres nationalités voisines se rendent en Corée. C’est un pays développé et riche et vous ne pouvez pas obtenir la résidence permanente à bon marché. En Corée du Sud, il y a des opportunités à saisir si vous êtes prêt à vivre ici et à garder une oreille attentive. Toutefois, si vous recherchez un passeport asiatique, il se peut que le passeport coréen a “une puissante valeur », tant actuelle que dans un futur proche, avec le Japon et Singapour. (Résidence alternative & citoyenneté en Corée du Sud, Japon, Singapour, Turkey, Dubai : GlobalResidence21@gmail.com) 19


Apprendre le coréen Hangeul le samedi Les Cours pour TOPIK / Tous les niveaux sur demande

Cours K-POP

Lundi : Dany, 18h-19h30 KHIPHOP/KPOP,TN Mard : Tina, 19h-20h30 HIPHOP, TN Vendredi : Yoann, 19h-20h30 TN

ESPACE COREEN

20 Ônomad

108, avenue Fontainebleau 94270 Kremlin-Bicêtre métro ligne 7. Kremlin-Bicêtre coreen@espace-coreen.kr 02 49 59 87 23


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.