- 1983 : des militants du PS et du PCF cherchent une issue à leur désaccord politique face au tournant de la rigueur en se rapprochant du PCI.
- : aux élections européennes, la liste « Pour un parti des travailleurs », conduite par Marc Gauquelin, obtient 0,90 %[1]
- - : fondation par ces militants et ceux du PCI du MPPT.
- Avril 1986 : scission de 400 militants qui fondent Convergences socialistes. Le Convergences Socialistes rejoint le Parti socialiste (PS). L'influence majoritaire du syndicat étudiant UNEF-ID passe du PCI au PS[2]. Les partants les plus connus sont :
- Jean-Christophe Cambadélis (président de l'UNEF-US puis de l'UNEF-ID entre 1978 et 1984)
- Marc Rozenblat (président de l'UNEF-ID entre 1984 et 1986)
- Philippe Darriulat (président de l'UNEF-ID de 1986 à 1988)
- Philippe Campinchi (président de l'UNEF-ID de 1991 à 1994)
- : premier tour de l'élection présidentielle : 0,38 % pour Pierre Boussel[3],[4]
- : élections européennes. la liste pour l'Europe des travailleurs et de la démocratie soutenue par le MPPT conduite par Marc Gauquelin[5] obtient 0,60 %
- 10- : le Mouvement pour un parti des travailleurs, avec le ralliement d'anarcho-syndicalistes de l'UAS, devient le Parti des travailleurs (PT).
- ↑ « Élections européennes de 1984 », politiquemania.com (consulté le ).
- ↑ « Cambadélis : un «reconstructeur» à la tête du Parti socialiste », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- ↑ Patrick Jarreau, « Pierre Lambert, dirigeant trotskiste », lemonde.fr, (consulté le ).
- ↑ « Décision n° 88-56 pdr du 27 avril 1988 », sur Conseil constitutionnel (consulté le ).
- ↑ « Les élections européennes M. Marc Gauquelin conduira la liste du MPPT », sur lemonde.fr, .