Kevin Lambert, ou la possibilité d’un Goncourt québécois
Henri Bourassa publie en 1910 le premier numéro du Devoir, en promettant d’en faire un journal “d’opinion” et “d’échange d’idées” pour raviver la fibre nationaliste des Canadiens français. Aujourd’hui, le dernier quotidien indépendant du Québec jouit d’une solide réputation, même si sa diffusion est restreinte. Plutôt souverainiste.
Le Devoir paie cher sa volonté de ne faire partie d’aucun conglomérat de presse : la menace de faillite est récurrente, ses effectifs rédactionnels sont limités et il ne touche que 3 % de l’ensemble du lectorat. Cette situation n’a pas empêché la Society of News Design de donner, en 1994, au Devoir le titre de “plus beau quotidien au monde”.
A l’image de l’édition papier, le site a de l’allure. La navigation d’une section à l’autre est facile et, fait rare, la publicité est discrète.
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